Dans un paisible jardin, chantait un rossignol,
Sa voix, douce mélodie, enflammait le sol.
Les fleurs, en écho, dansaient au gré du vent,
Tandis que les passants s'arrêtaient, charmés, content.
Un vautour, haut perché sur un rocher,
Observait ce spectacle, le cœur plein de fierté.
"Que fait ce petit oiseau si délicat ?
Son chant ne nourrit pas, il est là pour le chat !"
Le rossignol, insouciant, ne l’entendait guère,
Lui, rêvait de liberté, de ciel et de lumière.
Il répondit au vautour, d’un ton léger :
"Mon chant réchauffe les cœurs, je préfère aimer."
Le vautour, moqueur, fit un sourire cynique :
"Chanter pour survivre est une approche erronée.
Je suis le roi des cieux, la force, la pratique,
Avec mes serres acérées, je suis celui qui est aimé."
Mais un jour, la tempête fit rage, le vent souffla,
Le vautour, dans la tourmente, n’osa s’envoler là.
Tandis que le rossignol, en un vol gracieux,
S’éleva parmi les nuages, fier et heureux.
Moralité :
Celui qui chante pour vivre, libre comme l’air,
Peut trouver en son cœur des trésors à découvrir.
Tandis que celui qui ne cherche que le pouvoir,
Risquerait de se perdre, loin des rêves à bâtir.
Dans un jardin fleuri, un rossignol chantait,
Sa voix, douce et légère, enchantait l’air du frais matin.
Les passants s'arrêtaient, admirant son refrain,
Et les fleurs, en écho, semblaient l'écouter,
Comme si la nature elle-même, émerveillée,
Se laissait porter par ce doux air divin.
Un vautour, haut perché sur un rocher de fer,
Regardait le spectacle, d'un œil un peu amer.
"Quel charme inutile ! se dit-il en ricanant,
Cet oiseau, si léger, n'est qu'un faible mendiant.
À quoi bon ce chant, si ce n’est pour flatter
Des cœurs sans intérêt, des âmes à l’envers ?"
Le rossignol, enjoué, lui répondit gaiement :
"Mon chant est ma richesse, et c'est là mon talent.
Pour qui sait écouter, ma musique est trésor ;
Elle éveille les âmes, elle fait vivre encore."
Le vautour, hautain, de son bec acéré,
Lui rétorqua, moqueur : "Ton chant, que t'apporte-t-il ?
Je préfère la chasse, la force, le profil,
Avec mes serres puissantes, je suis roi du ciel."
Mais la tempête, un jour, vint troubler ce beau temps,
Le vautour, par la crainte, fut cloué, hésitant.
Tandis que le rossignol, d’un vol léger,
S’éleva dans les cieux, libre et ravi, l’aimé.
Moralité :
Il vaut mieux, en ce monde, chanter avec cœur,
Que vivre dans l’orgueil, se vautrer dans la peur.
Le chant de l’âme est force et liberté,
Tandis que le pouvoir ne fait que l'illusion de l'égalité.
Dans un petit village, vivait un avare,
Dont l'argent était roi, et l'amour, un cauchemar.
Il comptait ses écus, les gardait jalousement,
Rêvant de richesses, au mépris des sentiments.
Son fils, jeune homme aux yeux pleins de lumière,
Souhaitait découvrir le monde, sans frontières.
"Mon père," disait-il, "la vie est bien plus belle
Quand on partage l’amour, que l’on tisse des merveilles."
L’avare, fronçant les sourcils, répondit d’un ton froid :
"Fils, vois-tu, l'argent est tout, c'est ma seule loi.
Ne gaspille pas ta force pour des plaisirs futiles,
L'avenir se bâtit sur des fondations utiles."
Un jour, le fils s’en alla, le cœur en émoi,
Il quitta la maison, emportant un peu de foi.
Il découvrit l’amitié, l'amour et la beauté,
Et revint, plein de rêves, le regard illuminé.
Son père, en le voyant, s’écria d’un air grave :
"Qu'as-tu fait de ton temps ? Où sont tes richesses, brave ?
Ton cœur s'est égaré, tu es devenu fou !
L'argent est le vrai roi, il faut lui rendre tout !"
Le fils, d’un sourire, répliqua avec douceur :
"Mon père, l’argent s’en va, mais l’amour demeure.
Ce que j’ai découvert, ce sont des trésors,
Des moments partagés, bien plus précieux encore."
Moralité :
L’avarice nous enferme, l’amour nous libère.
La richesse du cœur surpasse l’argent amassé.
Cultivez vos liens, et laissez l’orgueil,
Car au terme du voyage, ce sont eux qui vous accueillent.
Dans un village, un avare comptait son or,
Son fils rêvait d’amour, de joie, et d’encore.
"Ne gaspille pas ta force," dit le père amer,
"L'argent est la clé, c’est la seule lumière."
Le fils, en voyage, découvrit l’amitié,
Et revint épanoui, le cœur enchanté.
"Mon père, l’amour est le vrai trésor,
L’argent s’en va, mais lui, reste encore."
Moralité :
L’avarice nous enferme, l’amour nous libère ;
Le cœur est plus riche que l’or amassé.
Un avare, dans son antre, cachait ses pièces,
Son fils, plein d’entrain, rêvait de richesses.
"Voyage et découvre," lui conseilla-t-il,
"Le monde est vaste, ouvre-toi au subtil."
L’enfant, en partant, trouva l’amitié,
Des rires, des instants, et tant de gaieté.
À son retour, le père, toujours méfiant,
L'interrogea : "As-tu amassé des biens ?"
"Non, mais j’ai trouvé," dit le fils avec foi,
"Des trésors d’amour que l’argent ne peut noyer.
Le cœur en est plein, bien plus qu’un coffre d’or,
Car l’amour et l’amitié sont les vrais trésors."
L’avarice isole, l’amour nous éclaire ;
Les liens du cœur valent plus que l’argent en terre.
Dans le velours nocturne, scintillait l’étoile,
Éclairant le silence d’une lumière pâle.
L’ombre, en contrepoint, dansait sans un bruit,
Évoquant le mystère, l’infini, l’oubli.
« O sublime éclat, » murmura l’ombre en pleurs,
« Ta beauté éclipsée, je la crains en mes cœurs.
Pourtant, dans ce royaume où le rêve se tisse,
Peut-être, un instant, brillerait la malice. »
L’étoile, douce et lointaine, sourit, avec grâce :
« Sans l’ombre, ô mon amie, nulle lumière ne passe.
Accepte cette danse, ce jeu de contrastes,
Car l’un sans l’autre, dans l’éther, se désastre. »
Un singe malicieux trouva une pendule,
« Que fais-tu là, à tourner sans boussole ? »
La pendule, agacée, répondit d’un ton sage :
« Je compte les heures, c’est mon seul avantage ! »
Le singe éclata de rire, en faisant des pirouettes :
« Moi, je vis sans souci, chaque instant est fête !
L’heure n’a pas d’importance, je mange, je danse,
Tandis que toi, tu tic-tac, dans ta robe en silence. »
La pendule, amusée, lui lança un clin d'œil :
« Continue à rire, mais souviens-toi des conseils :
Un jour, quand tu voudras voir où est passée la fête,
Tu regretteras le temps, cher ami, à ta quête. »
Oui, c'est sûr ! Ce n'est pas demain que chatgpt remplacera mes poètes !