Dans le temps où le moissonneur
Sa faucille apprêtait pour l'usage ordinaire,
Certain épi, lovait de toute sa hauteur
Dans los airs une tête altière ;
Il se glorifiait, méprisant ses pareils
Inclinant leur chef vers la terre,
Et sur leur dignité lotir donnant dos conseils,
Leur citait son exomplo à suivro salutaire
L'un des épis lui dit : Hélas ! mon pauvro frère,
Si, commo à nous, ta têto était pleine do grains.
On ne to verrait pas avec ces airs hautains
La lover aussi haut; tu serais plus timide.

L'orgueil se loge au largo en une tête vide.





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