Un cousin s’était posé sur la corne d’un taureau. Après y être resté longtemps, comme il allait partir, il demanda au taureau s’il désirait qu’enfin il s’en allât. Le taureau répondit : « Quand tu es venu, je ne t’ai pas senti, et quand tu t’en iras, je ne te sentirai pas non plus. »
On pourrait appliquer cette fable à l’homme impuissant dont ni la présence ni l’absence ne peuvent nuire ou servir.