Le jeune Guerrier Étienne Fumars (1743 - 1806)

Un prince, le rival des héros fabuleux,
Par sa seule valeur, comme eux,
Voulant se montrer invincible,
Endossa d’un lion la dépouille terrible.
Il vint, il vit, On le battit.
Son vainqueur, né plaisant, admira sa parure ;
Elle laisse pourtant, dit-il, trop d’ouverture.
Le prince, à mon avis, devait, à tout hasard,
S’être fait un manteau de la peau du renard.

Au courage, guerriers, alliez la prudence.
Et la finesse aussi n’y nuirait pas, je pense.





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