« On ne te voit jamais prendre part à nos jeux,
Disait à la corneille un loriot joyeux ;
Pourquoi vis-tu, toujours seule et mélancolique ?
— A vos ébats, ami, comment puis-je m'unir,
Répondit l'oiseau prophétique,
Quand j'ai le don fatal dé prévoir l'avenir ? »

Livre III, Fable 11, 1856




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